Chevalier blanc recherche hôtel de ville

Ci dessous, un extrait d'un article de Valérie Dufour sur Rue Frontenac, le site des journalistes du Journal de Montréal en lock-out.

Comme Jean Drapeau l’a fait dans les années 1950, Richard Bergeron croit qu’il est l’homme qu’il faut pour faire le grand ménage à l’hôtel de ville et redorer le blason de Montréal. Misant sur son intégrité, le chef de Projet Montréal promet d’arrêter la corruption et de réaliser un programme rempli de vastes projets verts dont la mise en place d’un tramway au centre-ville.
« Ce n’est pas vrai que la politique est forcément sale. La politique a déjà été propre et je trouve insultant qu’on dise que la seule raison pour laquelle je n’aie pas mis la main dans la caisse, c’est parce que je n’ai jamais été au pouvoir », laisse tomber Richard Bergeron lors d’une entrevue avec RueFrontenac.com qui avait lieu à l’ombre du vieil hôpital Saint-Luc.

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